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VIEJO, SOLO Y PUTO

Buenos Aires, Argentine

Avec Viejo, solo y puto, Sergio Boris foule ce territoire noctambule d’amours injectables, d’histoires interdites, de destins croisés et de désolation.


Paula Buente, Llegas, 2011

Bien que son titre paraisse provocateur, Viejo, solo y puto est l’aboutissement d’un travail théâtral d’une envergure esthétique majeure.

Les cinq acteurs qui en incarnent les personnages sont excellents. Les voir jouer est une véritable leçon de théâtre. Ils interagissent avec une telle précision que cela en devient effrayant. Ils incarnent leurs personnages avec une telle intensité qu’ils semblent ne pas jouer.


Osvaldo Quiroga, La Tempestad, 2011

Avec le metteur en scène argentin Sergio Boris, on est dans un réalisme fascinant, - on pense à Pasolini pour le cinéma -, projetant le spectateur dans une relation et une proximité immédiates avec un quotidien de désolation, entre tensions exacerbées et amitiés / amours insensées (...). Du théâtre comme on en voit rarement.


Céline Musseau, Sud Ouest, 21 novembre 2013

Comédie trash et descente aux enfers dans les bas-fonds de la nuit travestie argentine, la pièce de Sergio Boris mêle le réalisme du documentaire à un art accompli du théâtre (...).

Objet aussi décadent que sublime, aussi cultivé et littéraire qu'elliptique, cette première pièce est un petit bijou de savoir-faire servi par une troupe d'exception (...).

Sergio Boris fait une entrée fracassante sur les scènes françaises.


Patrick Sourd, Les Inrockuptibles, 25 novembre 2013